LES PARFUMS FLORAUX VOIENT LA VIE EN ROSE… ET BLANC

Après une déœnnie de fruités orientaux, la famille fleurie s’épanouit dans les sillages féminins. Avec deux tendances distinctes : d’une part, les roses vertes et les pétales doux évocateurs d’une nature accueillante, d’autre part les fleurs blanches solaires.

En 2021, cette famille est sous les projecteurs, puisque 20 des 39 lancements de parfums féminins de luxe en font partie. Si l’an passé était déjà très floral, le virage se resserre sur la naturalité. Toujours en tête, la rose (présente dans 33 nouveautés) invoque plus que jamais une nature bienveillante. Poivrée éthérée (Olympea Blossom, Paco Rabanne – Puig) verte ou poudrée, elle se pare d’une douceur pétalée. 

Même (LVMH) réinterprète son Eau de Toilette Flower avec une rose plus transparente, renforcée de la mandarine et citron, liftée de son fond oriental. Dans les labels confidentiels, la reine des fleurs est aussi traitée de façon fraîche et identifiable comme chez Delina La Rosée Parfums de Marly, bordée de litchi et pivoine, autre fleur en vogue en 2021. Ailleurs, ses pétales pastel enrobés de violette et d’iris dessinent une sensualité poudrée (Rose Chérie, l’Art & La Matière, Guerlain – LVMH), ou s’entourent de muguet encore humide; car les sensations d’herbe fraîche contaminent aussi nombre de créations.

“La facette verte, parfaite pour invoquer la nature et alléger le gourmand, se sent dans toutes les catégories, relève Isabelle Ferrand, directrice de Cinquième Sens. Aussi bien chez les nouveaux féminins – Nina Rose Garden (Puig). C’est Paris, Carven (Bogard), A drop d’issey de Miyake (Sbiseido), que chez les hommes – H24, Hermès, Phantom, Paco Rabanne (Puig) – ou en parfumerie d’auteur – Synthetic Jungle, Frédéric Malle (Lauder), la collection Rivière de Cartier.”

Dans cette quête d’éléments naturels, de nouvelles notes narines, plus aqueuses et ozoniques que franchement iodées, éclaboussent les créations de la belle saison. À sentir dans Nettare Di Sole Aqua Allegoria de Guerlain (LVMH), Bois Flotté de L’Occitane, Kenzo Homme Intense (LVMH), Costa Azzura, TOm Fort (Lauder)

Une nature sensationnelle

« Ce besoin de reconnexion avec la nature n’est pas nouveau, mais il s’est transformé », analyse Pierre

Bisseuil, cofondateur du collectif The Prospectivists.

“Dans les années quatre-vingt-dix, la vague d’eaux fraîches et aquatiques répondait aux envies de sport et de bien-être tout en aérant une parfumerie lourde et abstraite – Opium YSL, Trésor Lancôme, Poison Dior… Cette vague dut anéantie par la déferlante d’éthyl-mantol. Aujourd’hui, ce tropisme pour les éléments passe avant tout par l’émotion et le ressenti, accentué par les confinements qui nous ont coupés des promenades en plein air. Le sociologue Georges Vigarello (*) décrit parfaitement ces nouvelles attentes. Les consommateurs cherchent un lien direct avec la nature. Sans être totalement figuratif, le parfum doit présenter un accord ou une facette qui mine une sensation vécue, telle qu’une promenade en forêt, une feuille froissée aux doigts ou une respiration au grand air.” Les notes vertes remplissent donc cette mission, comme celles de A Kiss From A Rose chez Kilian (lauder) ou du bouquet de Miss Dior Eau de Parfum (LVMH). Ce fantasme d’une campagne bienveillante se confirme avec le film publicitaire Dior dans lequel Natalie Portman déambule dans un champ verdoyant et multicolore. “Dans l’élan de transparence actuel, de plus en plus de fleurs sont aussi sourcées, cela devient presque un impératif”, ajoute Isabelle Ferrand. Par exemple, la rose de Idôle Aura chez Lancôme (L’oréal) provient d’un partenariat solidaire en Turquie. La niche se toque aussi de traçabilité, t’éthique et de durable. Ainsi, lorsque Carlotha Ray, une designer dans le vent, lance ses parfums éponymes, son Rose & Gardénia, – encore un fleuri vert frais -, s’affiche avec 90% d’ingrédients d’origine naturelle et 20% upcyclés, de l’alcool végétal bio, mais exempt de filtre UV ni colorant, ainsi qu’un flocon en verre léger et recyclé à 40%… (Printemps, Nocibé, Blissim.fr). Chloé (Coty) va un cran plus loin, revisitant son parfum signature par une composition à base d’ingrédients 100% d’origine naturelle. On reconnaît la filiation avec l’ainée à travers sa rose fraîche, en plus fruitées et poudrée. Côté communication, la marque a investi un jardin à Paris à Montmartre durant plusieurs jours pour y faire venir des influenceurs du monde entier.

Avec des fruits juteux

Même tic d’époque chez Angel Nova de Mugler (L’Oréal) dont la rose est à la fois sourcée et une partie upcyclée avant de se combiner à la framboise façon sirop de grenadine. Car la facette fruitée reste la plus représentée avec 40 occurrences, pour 26 facettes gourmandes. Les fruits rouges très gustatifs restent une valeur sûre (Eau de Toilette Irresistible de Givenchy – LVMH, Tobacolor, Dior – LVMH, Kate Spade – Interparfums…) En haut du podium, la poire devient le fruit le plus senti avec son juteux sucré qui désaltère – Terra di Gioa Armani (L’Oréal), Gucci Flora Gorgeous Magnolia (Coty)…, évoquée en titre chez pear Inc de Juliette Has a Gun. La corbaille 2021 contient aussi des pêches qui rendent n’importe quelle rose appétissante (Spell on You, Louis Vuitton – LVMH) tout en se mariant parfaitement avec les effets lactés du santal et des fleurs blanches (I Want Choo, Jimmy Choo – Interparfums, The One Gold Intense, Dolce & Gabbana – Shiseidon, Tuberosa, le Couvent des Minimes – Kresk…).

“Ce sont les deux tendances extrêmes des fleuris qui coexistent : d’un côté, il y a une percée de la naturalité, avec ces roses fraîches et ces touches vertes et marines. De l’autre, on cherche le réconfort avec des notes salicylées solaires et poudrées. Celles-ci renvoient à un plaisir bédoniste, tout comme les facettes gourmandes lactées”, précise Isabelle Ferrand. Parmi ces fleuris ambrés aux sensabtion cocooning, citons Idôle Aura de Lancôme (L’Oréal), Eau de Néroli Ambré de Narciso (shiseido), My Way Intense d’Armani (L’Oréal) et Lady Million Fabulous chez Paco Rabanne (Puig). Une profusion de fleurs alors que les jeunes filles n’ont jamais autant clamé leur besoin de s’affranchir des genres : l’époque n’est pas à un paradoxe près.

source : https://www.cosmetiquemag.frMême (LVMH) réinterprète son Eau de Toilette Flower avec une rose plus transparente, renforcée de la mandarine et citron, liftée de son fond oriental. Dans les labels confidentiels, la reine des fleurs est aussi traitée de façon fraîche et identifiable comme chez Delina La Rosée Parfums de Marly, bordée de litchi et pivoine, autre fleur en vogue en 2021. Ailleurs, ses pétales pastel enrobés de violette et d’iris dessinent une sensualité poudrée (Rose Chérie, l’Art & La Matière, Guerlain – LVMH), ou s’entourent de muguet encore humide; car les sensations d’herbe fraîche contaminent aussi nombre de créations.

“La facette verte, parfaite pour invoquer la nature et alléger le gourmand, se sent dans toutes les catégories, relève Isabelle Ferrand, directrice de Cinquième Sens. Aussi bien chez les nouveaux féminins – Nina Rose Garden (Puig). C’est Paris, Carven (Bogard), A drop d’issey de Miyake (Sbiseido), que chez les hommes – H24, Hermès, Phantom, Paco Rabanne (Puig) – ou en parfumerie d’auteur – Synthetic Jungle, Frédéric Malle (Lauder), la collection Rivière de Cartier.”

Dans cette quête d’éléments naturels, de nouvelles notes narines, plus aqueuses et ozoniques que franchement iodées, éclaboussent les créations de la belle saison. À sentir dans Nettare Di Sole Aqua Allegoria de Guerlain (LVMH), Bois Flotté de L’Occitane, Kenzo Homme Intense (LVMH), Costa Azzura, TOm Fort (Lauder)

Une nature sensationnelle

« Ce besoin de reconnexion avec la nature n’est pas nouveau, mais il s’est transformé », analyse Pierre

Bisseuil, cofondateur du collectif The Prospectivists.

“Dans les années quatre-vingt-dix, la vague d’eaux fraîches et aquatiques répondait aux envies de sport et de bien-être tout en aérant une parfumerie lourde et abstraite – Opium YSL, Trésor Lancôme, Poison Dior… Cette vague dut anéantie par la déferlante d’éthyl-mantol. Aujourd’hui, ce tropisme pour les éléments passe avant tout par l’émotion et le ressenti, accentué par les confinements qui nous ont coupés des promenades en plein air. Le sociologue Georges Vigarello (*) décrit parfaitement ces nouvelles attentes. Les consommateurs cherchent un lien direct avec la nature. Sans être totalement figuratif, le parfum doit présenter un accord ou une facette qui mine une sensation vécue, telle qu’une promenade en forêt, une feuille froissée aux doigts ou une respiration au grand air.” Les notes vertes remplissent donc cette mission, comme celles de A Kiss From A Rose chez Kilian (lauder) ou du bouquet de Miss Dior Eau de Parfum (LVMH). Ce fantasme d’une campagne bienveillante se confirme avec le film publicitaire Dior dans lequel Natalie Portman déambule dans un champ verdoyant et multicolore. “Dans l’élan de transparence actuel, de plus en plus de fleurs sont aussi sourcées, cela devient presque un impératif”, ajoute Isabelle Ferrand. Par exemple, la rose de Idôle Aura chez Lancôme (L’oréal) provient d’un partenariat solidaire en Turquie. La niche se toque aussi de traçabilité, t’éthique et de durable. Ainsi, lorsque Carlotha Ray, une designer dans le vent, lance ses parfums éponymes, son Rose & Gardénia, – encore un fleuri vert frais -, s’affiche avec 90% d’ingrédients d’origine naturelle et 20% upcyclés, de l’alcool végétal bio, mais exempt de filtre UV ni colorant, ainsi qu’un flocon en verre léger et recyclé à 40%… (Printemps, Nocibé, Blissim.fr). Chloé (Coty) va un cran plus loin, revisitant son parfum signature par une composition à base d’ingrédients 100% d’origine naturelle. On reconnaît la filiation avec l’ainée à travers sa rose fraîche, en plus fruitées et poudrée. Côté communication, la marque a investi un jardin à Paris à Montmartre durant plusieurs jours pour y faire venir des influenceurs du monde entier.

Avec des fruits juteux

Même tic d’époque chez Angel Nova de Mugler (L’Oréal) dont la rose est à la fois sourcée et une partie upcyclée avant de se combiner à la framboise façon sirop de grenadine. Car la facette fruitée reste la plus représentée avec 40 occurrences, pour 26 facettes gourmandes. Les fruits rouges très gustatifs restent une valeur sûre (Eau de Toilette Irresistible de Givenchy – LVMH, Tobacolor, Dior – LVMH, Kate Spade – Interparfums…) En haut du podium, la poire devient le fruit le plus senti avec son juteux sucré qui désaltère – Terra di Gioa Armani (L’Oréal), Gucci Flora Gorgeous Magnolia (Coty)…, évoquée en titre chez pear Inc de Juliette Has a Gun. La corbaille 2021 contient aussi des pêches qui rendent n’importe quelle rose appétissante (Spell on You, Louis Vuitton – LVMH) tout en se mariant parfaitement avec les effets lactés du santal et des fleurs blanches (I Want Choo, Jimmy Choo – Interparfums, The One Gold Intense, Dolce & Gabbana – Shiseidon, Tuberosa, le Couvent des Minimes – Kresk…).

“Ce sont les deux tendances extrêmes des fleuris qui coexistent : d’un côté, il y a une percée de la naturalité, avec ces roses fraîches et ces touches vertes et marines. De l’autre, on cherche le réconfort avec des notes salicylées solaires et poudrées. Celles-ci renvoient à un plaisir bédoniste, tout comme les facettes gourmandes lactées”, précise Isabelle Ferrand. Parmi ces fleuris ambrés aux sensabtion cocooning, citons Idôle Aura de Lancôme (L’Oréal), Eau de Néroli Ambré de Narciso (shiseido), My Way Intense d’Armani (L’Oréal) et Lady Million Fabulous chez Paco Rabanne (Puig). Une profusion de fleurs alors que les jeunes filles n’ont jamais autant clamé leur besoin de s’affranchir des genres : l’époque n’est pas à un paradoxe près.

source : https://www.cosmetiquemag.frMême (LVMH) réinterprète son Eau de Toilette Flower avec une rose plus transparente, renforcée de la mandarine et citron, liftée de son fond oriental. Dans les labels confidentiels, la reine des fleurs est aussi traitée de façon fraîche et identifiable comme chez Delina La Rosée Parfums de Marly, bordée de litchi et pivoine, autre fleur en vogue en 2021. Ailleurs, ses pétales pastel enrobés de violette et d’iris dessinent une sensualité poudrée (Rose Chérie, l’Art & La Matière, Guerlain – LVMH), ou s’entourent de muguet encore humide; car les sensations d’herbe fraîche contaminent aussi nombre de créations.

“La facette verte, parfaite pour invoquer la nature et alléger le gourmand, se sent dans toutes les catégories, relève Isabelle Ferrand, directrice de Cinquième Sens. Aussi bien chez les nouveaux féminins – Nina Rose Garden (Puig). C’est Paris, Carven (Bogard), A drop d’issey de Miyake (Sbiseido), que chez les hommes – H24, Hermès, Phantom, Paco Rabanne (Puig) – ou en parfumerie d’auteur – Synthetic Jungle, Frédéric Malle (Lauder), la collection Rivière de Cartier.”

Dans cette quête d’éléments naturels, de nouvelles notes narines, plus aqueuses et ozoniques que franchement iodées, éclaboussent les créations de la belle saison. À sentir dans Nettare Di Sole Aqua Allegoria de Guerlain (LVMH), Bois Flotté de L’Occitane, Kenzo Homme Intense (LVMH), Costa Azzura, TOm Fort (Lauder)

Une nature sensationnelle

« Ce besoin de reconnexion avec la nature n’est pas nouveau, mais il s’est transformé », analyse Pierre

Bisseuil, cofondateur du collectif The Prospectivists.

“Dans les années quatre-vingt-dix, la vague d’eaux fraîches et aquatiques répondait aux envies de sport et de bien-être tout en aérant une parfumerie lourde et abstraite – Opium YSL, Trésor Lancôme, Poison Dior… Cette vague dut anéantie par la déferlante d’éthyl-mantol. Aujourd’hui, ce tropisme pour les éléments passe avant tout par l’émotion et le ressenti, accentué par les confinements qui nous ont coupés des promenades en plein air. Le sociologue Georges Vigarello (*) décrit parfaitement ces nouvelles attentes. Les consommateurs cherchent un lien direct avec la nature. Sans être totalement figuratif, le parfum doit présenter un accord ou une facette qui mine une sensation vécue, telle qu’une promenade en forêt, une feuille froissée aux doigts ou une respiration au grand air.” Les notes vertes remplissent donc cette mission, comme celles de A Kiss From A Rose chez Kilian (lauder) ou du bouquet de Miss Dior Eau de Parfum (LVMH). Ce fantasme d’une campagne bienveillante se confirme avec le film publicitaire Dior dans lequel Natalie Portman déambule dans un champ verdoyant et multicolore. “Dans l’élan de transparence actuel, de plus en plus de fleurs sont aussi sourcées, cela devient presque un impératif”, ajoute Isabelle Ferrand. Par exemple, la rose de Idôle Aura chez Lancôme (L’oréal) provient d’un partenariat solidaire en Turquie. La niche se toque aussi de traçabilité, t’éthique et de durable. Ainsi, lorsque Carlotha Ray, une designer dans le vent, lance ses parfums éponymes, son Rose & Gardénia, – encore un fleuri vert frais -, s’affiche avec 90% d’ingrédients d’origine naturelle et 20% upcyclés, de l’alcool végétal bio, mais exempt de filtre UV ni colorant, ainsi qu’un flocon en verre léger et recyclé à 40%… (Printemps, Nocibé, Blissim.fr). Chloé (Coty) va un cran plus loin, revisitant son parfum signature par une composition à base d’ingrédients 100% d’origine naturelle. On reconnaît la filiation avec l’ainée à travers sa rose fraîche, en plus fruitées et poudrée. Côté communication, la marque a investi un jardin à Paris à Montmartre durant plusieurs jours pour y faire venir des influenceurs du monde entier.

Avec des fruits juteux

Même tic d’époque chez Angel Nova de Mugler (L’Oréal) dont la rose est à la fois sourcée et une partie upcyclée avant de se combiner à la framboise façon sirop de grenadine. Car la facette fruitée reste la plus représentée avec 40 occurrences, pour 26 facettes gourmandes. Les fruits rouges très gustatifs restent une valeur sûre (Eau de Toilette Irresistible de Givenchy – LVMH, Tobacolor, Dior – LVMH, Kate Spade – Interparfums…) En haut du podium, la poire devient le fruit le plus senti avec son juteux sucré qui désaltère – Terra di Gioa Armani (L’Oréal), Gucci Flora Gorgeous Magnolia (Coty)…, évoquée en titre chez pear Inc de Juliette Has a Gun. La corbaille 2021 contient aussi des pêches qui rendent n’importe quelle rose appétissante (Spell on You, Louis Vuitton – LVMH) tout en se mariant parfaitement avec les effets lactés du santal et des fleurs blanches (I Want Choo, Jimmy Choo – Interparfums, The One Gold Intense, Dolce & Gabbana – Shiseidon, Tuberosa, le Couvent des Minimes – Kresk…).

“Ce sont les deux tendances extrêmes des fleuris qui coexistent : d’un côté, il y a une percée de la naturalité, avec ces roses fraîches et ces touches vertes et marines. De l’autre, on cherche le réconfort avec des notes salicylées solaires et poudrées. Celles-ci renvoient à un plaisir bédoniste, tout comme les facettes gourmandes lactées”, précise Isabelle Ferrand. Parmi ces fleuris ambrés aux sensabtion cocooning, citons Idôle Aura de Lancôme (L’Oréal), Eau de Néroli Ambré de Narciso (shiseido), My Way Intense d’Armani (L’Oréal) et Lady Million Fabulous chez Paco Rabanne (Puig). Une profusion de fleurs alors que les jeunes filles n’ont jamais autant clamé leur besoin de s’affranchir des genres : l’époque n’est pas à un paradoxe près.

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